Un site de critique ciné assez spécial : http://insideadream.free.fr/
J'ai beau essayer de lire lentement et en me concentrant, je ne pige que dalle à ses critiques. Ca me fait penser aux Tranxen 200 des Inconnus, c'est dire !
Frédéric FLAMENT et critiques de cinéma intellos
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Les tranxen 200Pouh a écrit :Un site de critique ciné assez spécial : http://insideadream.free.fr/
J'ai beau essayer de lire lentement et en me concentrant, je ne pige que dalle à ses critiques. Ca me fait penser aux Tranxen 200 des Inconnus, c'est dire !

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- John Master
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Je suis d'accord sur l'esprit ouvert qu'il possède et qu'il y a quelques très bonnes critiques parmi celles qu'il a écrites.
Mais primo : on retire son vocabulaire X-tra pompeux, il en ressort des approfondissements assez basiques.
Et secundo, il a une mauvaise manie de chercher les symboles / singnifications n'importe où, même là où il y en a pas...
M'enfin bref, vous allez sûrement me dire : "T'aimes pas ses critiques ? Trace alors !" et vous auriez bien raison.
Allez, pour finir : Zord du forum de Nanarland a tenté une critique à la Frédéric Flament... (exagérée, mais qui m'a bien fait marrer)
Mais primo : on retire son vocabulaire X-tra pompeux, il en ressort des approfondissements assez basiques.
Et secundo, il a une mauvaise manie de chercher les symboles / singnifications n'importe où, même là où il y en a pas...
M'enfin bref, vous allez sûrement me dire : "T'aimes pas ses critiques ? Trace alors !" et vous auriez bien raison.

Allez, pour finir : Zord du forum de Nanarland a tenté une critique à la Frédéric Flament... (exagérée, mais qui m'a bien fait marrer)
Cadeau Bonux : le Pipotron http://www.w3perl.com/fun/management/pipotron.htmlTiens, j'ai fait une chronique, moi aussi.
"Miroir quasi aulique des vanités humaines, le film présente un doublon tryptique d'incarnats sociaux, à la fois reflets et parangons situationnistes. Un film-monde partagé entre théophagie et universalité, qui n'en renvoie pas moins au regardant son propre ordinaire individuel noyé dans le collectif oppressant, sans miséricorde ni noologie superfétatoire.
Un écheveau d'intrigues lie les individus dans une angoisse permanente et saculiforme formant un véritable salpicon situationnel, heureusement salutairement tué par le rire qui se dégage des paramboles comiques et des truculentes saillies des intervenants.
Une alchimie d'humeurs concomittentes, formant le noyau dur de cette véritable parclose cinématographique, jubilatoire autant que parabasique, voire parachronique. Bouillonnement d'innénarable cocasserie, en dépit de quelques facilités désultoires de la part d'un réalisateur qui détorque le sens de ses alambics verbaux pour céder à la facilité de quelques facondes volubiles qui cèdent volontiers à la dythirambe déjaculatoire, et autres mystifications sur pellicule, qui répond toutefois sans trop se salmigondis à la question multipare du ponologique Jean-Claude Dusse : "Y'a une ouverture? Y'a moyen de conclure?"
Voilà, c'était la chronique des "Bronzés", réalisée en 7 minutes, montre en main, à 'aide du "Dictionnaire des mots rares et précieux" (Editions 10/18 - 7, 41 euros à la Fnac), de Jean Claude Zylbertein; et du "Dictionnaire des Synonymes de la langue française", (soldé 2 euros chez Boulinier), chez Maxi-Poche Références, de Pierre Ripper.
Finalement, c'est pas bien compliqué... suffit juste de noyer des banalités sous un vernis de complexité et de prétention.
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